Initiation au Asskicking

histoire de asskicking gay

Ayant réagi à un article du blog en évoquant le asskicking, l’administrateur m’a permis de présenter cette pratique. Pour expliquer ce que c’est, j’ai choisi de vous raconter ma première expérience qui fut, très involontairement, une véritable initiation. Les conseils techniques feront l’objet d’une seconde publication. Vous pourrez ainsi relire ce récit en pensant alors aux aspects techniques.

Une caserne d’un régiment d’infanterie en 1999, 4 conscrits en Service National, et une chambre partagée par deux sergents (Eric, votre narrateur, et Nicolas) dont le grade permettait de ne pas être en dortoir de 10 lits, tel fut le contexte de cette expérience fondatrice.
Jeune gay passif, je suis très discret car être ouvertement homo en caserne dans ces années est la garantie de difficultés. Seul mon camarade de chambre, Nicolas, est officiellement au courant.

Dans le désœuvrement des soirées en casernement, nous sommes 4 dans notre chambre de sergents. Survient alors un pari avec un enjeu stupide… 10 coups de pied au cul pour le perdant : un enjeu utilisé pour la 1ère fois entre nous, ludique, humiliant pour le perdant et surtout pas cher !!! Sans l’avoir recherché, je suis le malheureux perdant.

En général, dans ces circonstances, la victime se penche en avant et le gagnant donne les coups de pied dans les fesses avec le côté du pied, pas trop fort. La sanction est symbolique, la posture étant jugée suffisamment humiliante. Pourquoi Nicolas fit-il autrement ? Je ne le sais pas mais je lui dois beaucoup car ce jour-là j’ai découvert un vrai plaisir intense et les camarades de régiment concernés également.

Nicolas se désigne comme exécuteur et me demande de me mettre à 4 pattes. Très mal à l’aise, j’accepte tout de même à l’étonnement des 2 autres gagnants du pari car je suis très actif et dominant dans la vie.
Contre toute attente, Nicolas donne son 1er coup de pied avec le bout de sa basket, une Puma bien fine au bout, et en visant précisément mon trou du cul. Donné avec une force modérée, le coup est efficace car je sens parfaitement l’impact sur mon anus, même à travers le slip et le pantalon de survêtement. Surpris, j’ai une petite réaction sonore se mêlant avec le bruit sourd du choc de la basket.

Un 2nd coup arrive, plus fort que le 1er, suscitant cette fois une réaction reflétant la surprise et un plaisir inattendu…
Pour en finir plus vite, Nicolas me propose alors d’échanger les 8 coups restants contre seulement 3 si je suis en slip. Encore sous l’effet surprenant de son dernier coup, je m’entends encore lui répondre oui…
Nicolas m’explique alors qu’il va bien prendre son temps entre chaque coup pour être sûr d’ajuster sa frappe et bien atteindre sa cible.
Nicolas me donne ces 3 coups de pied avec application, laissant le temps à l’effet de se dissiper avant l’impact du prochain coup. Il frappe, énergiquement mais sans excès, le bout de sa sket touchant à chaque fois sa cible sensible et provoquant des soupirs de plaisir, car honnêtement le slip était une faible protection.
J’ai l’impression que Nicolas veut me pénétrer avec le bout de sa Puma car je sens vraiment la pointe hyper fine et souple de sa Puma. C’est vraiment très agréable.

L’un des deux témoins, José, un excellent footeux de l’équipe du régiment, félicite alors Nicolas de « ses pointards » même s’il les trouve un peu mous.

Alors que je remonte rapidement mon pantalon pensant en avoir fini, José précise que l’enjeu était 10 coups par chacun des gagnants, soutenu par les deux autres dans cette affirmation. Dette de jeu, dette d’honneur, sans enthousiasme je me résigne donc à subir 20 coups supplémentaires.
S’imposant comme deuxième botteur, José me propose 5 coups au lieu de 10 si je reste en slip. J’accepte car la situation est dérangeante et je souhaite l’abréger.

Très excité, José s’adresse à Nicolas « je vais te montrer comment on met un vrai pointard ! », et se tournant vers moi « Nicolas a été trop gentil ; moi, je vais être un vrai marteau-piqueur ». Cette remarque ne m’inquiète pas car je ne la comprends pas.

José porte des Adidas Stan Smith blanches à la semelle de forme arrondie et épaisse. D’apparence anodine, elles vont se révéler être de vrais instruments de torture.
Très technique dans ses gestes comme le bon joueur de foot qu’il est, José frappe avec le bout de sa Stan Smith en visant mon trou du cul juste protégé par un slip.
José donne les 5 coups prévus en quelques secondes sans s’arrêter entre les coups. Il frappe de manière brutale et sèche. À chaque toucher, je ressens une pression inouïe du bout de son Adidas sur mon trou mais aussi sur la partie des fesses qui l’entoure.
Chaque coup est volontairement plus fort que le précédent et martyrise sa cible à chaque impact de la semelle dure et large des Stan Smith.
Je crie vraiment de douleur au premier coup, mais pas pour les autres car tout se passe trop vite et quand le 5ème est passé j’ai du mal à réaliser que c’est fini. Je suis un peu dans les vapes.

Le bottage achevé, je comprends que José a pris un réel plaisir à me faire mal quand il met une tape derrière la tête et me dit avec un grand sourire : « Avec un footeux faut pas jouer avec des coups de pied au cul. Ton trou va se souvenir un moment de mes pointards ! ».

Il a raison car j’ai le trou du cul en feu et j’ai l’impression qu’il a triplé de volume tout s’étant vraiment ouvert. Ayant compris ma douleur, Nicolas impose une pause cigarette.
Le troisième et dernier gagnant du pari, Olivier, me fait une proposition durant cette pause : 10 coups comme ceux de José si je suis en survêtement ou 2 coups seulement mais cul nu. Nicolas émet une protestation, mais repensant au deuxième bottage j’opte pour les 2 coups pour en finir de suite et parce que 10 coups à la José, même en survêtement…

Je baisse donc mon slip… sans me rendre compte que je bande à mort… mais ceci n’échappe pas à mes potes d’armée. Le regard silencieux de Nicolas m’en dit long : je me suis trahi sur mes préférences sexuelles et cette séance de bottage prend alors un autre aspect. Elle risque même de faire le tour de la compagnie et de me créer des problèmes.

Cette crainte est immédiatement confirmée par José : « si ça te fait autant plaisir de prendre des pointards dans le trou du cul, n’hésites pas à me demander, ça me défoulera ! Par contre la prochaine fois ce sera avec mes pompes de foot! ».
Sidéré par la tournure de ce pari stupide, je suis perdu devant cette situation qui devient incontrôlable.

Le troisième botteur, Olivier, se met devant moi et place sous mon visage son pied posé sur son talon, pointe relevée, offrant à mon regard le bout de sa sket. Il porte des runnings Asics dont le bout se termine par un petit carré noir, dessiné comme s’il était destiné à frapper une petite cible… comme un trou du cul.
Avec une vraie excitation dans ses yeux, Olivier me demande si j’aime « bien me faire ruiner le trou du cul comme un PD puisque je bande à mort quand on me le défonce à coups de pied ? »
Interdit, je reste sans réponse et cherche le regard de Nicolas. Une petite gifle d’Olivier ramène mon attention vers lui. Je lui affirme que je ne suis pas PD ! Olivier me remet une gifle plus forte que la 1ère en disant « prend moi pour un con, tu auras cherché ce qui va t’arriver, je vais t’enculer avec mon 44 ! »

Olivier passe vite derrière moi. Il positionne la pointe de son Asics en haut de ma raie du cul juste sous le coccyx, appuie énergiquement et descend doucement vers mon anus. Le trajet de sa sket me donne un plaisir inédit qui se traduit par des soubresauts de ma bite. Arrivé sur mon trou, il accentue fortement sa pression pour vérifier l’endroit où il doit frapper. Ma réaction lui confirme l’emplacement de la cible.
Olivier retire brusquement son pied pour frapper fort, très fort, bien plus fort que José. La pointe de son Asics atteint un anus très ouvert par le martelage de José ce qui me laisse dans un état second tant la sensation est intense. Après l’impact, Eric n’enlève pas son pied et le laisse en place, sa pointe de sket fortement calée sur mon trou.

Je ne perçois la présence de sa running qu’au bout de longues secondes, une fois l’effet du coup de pied disparu. Cette pointe de sket en pression sur mon cul provoque bien sûr à nouveau l’expression évidente de mon immense plaisir par des mouvements bien visibles de ma bite.
Olivier choisit cet instant pour appuyer très puissamment sur mon trou du cul avec la pointe de son Asics, tout en la remuant de bas en haut dans le but évident de la faire progresser plus profondément.
Cette pratique me fait crier car le bout de la semelle nervuré est agressif, mais un intense plaisir réel est là, mélange de douleur et de jouissance.

La puissance de percussion du 2ème coup de pied est absolument terrible me laissant incapable d’émettre un son tant j’ai eu l’impression de sentir son Asics me pénétrer.
Les deux observateurs inactifs que sont Nicolas et José sont aussi sans voix… car je jouis à l’impact de ce 2ème coup.
Concentré sur son action, Olivier ne perçoit pas le début de mon éjaculation. Après avoir frappé, il m’enfonce sa pointe de sket en la remuant frénétiquement. Hyper excité et dans son trip il ne se rend pas compte qu’il essaie de me forcer le trou avec sa sket pendant ma jouissance, provoquant ainsi une série de puissants jets saccadés de sperme sur le sol.

José hurle : « putain, c’est un vrai PD ! Tu l’as fait juter en lui défonçant le trou du cul ! » Olivier voit alors les taches du sperme projeté loin devant moi.
Olivier me crie : « Là, je te jure que je vais pas te faire jouir ! » et il m’envoie un 3ème coup à la hauteur de sa colère en poussant un cri rauque. Il s’apprête à recommencer quand Nicolas l’arrête en le poussant.

Nous restons tous les 4 silencieux, je me relève lentement et mon regard se porte sur l’entrejambes d’Olivier : une belle bosse sans équivoque se termine par une grande tache naissante. Olivier constate sa jouissance et honteux quitte la chambre de suite, immédiatement suivi de José.

Si cette séquence est longue à raconter, en fait elle dura en fait 10 minutes. Cet épisode, involontaire tant pour les 3 botteurs que pour le botté ; fut le début d’une pratique qui me procure depuis bien du plaisir ainsi qu’à de nombreux botteurs, dont mes 3 précurseurs.
Cette première séance, je m’en suis rendu compte après, contenait tous les aspects techniques qu’il faut prendre en compte et les différents types de botteurs.

Dans la prochaine publication, vous trouverez une approche technique : les différents types de botteurs, comment botter ou être botté et avec quelles limites, l’effet des différents types de chaussures et de coups de pied, comment faire un plan asskick long, comment apporter du changement dans la pratique pour toujours être surpris, comment marier le asskicking à d’autres pratiques, etc.

En espérant que ce récit authentique de cette 1ère expérience ne vous pas paru trop long. Si sa lecture vous a excité, n’hésitez pas à réagir sur le blog et à poser des questions.

Eric.

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7 Comments

  1. C’est hyper, hyper-bandant surtout ôur l’enculé que je suis. En même temps troublant, lorsqu’on braque le regard sur les botteurs qui, visiblement, avoue leur plaisir, celui de bi – en sont-ils conscients? – et de maître. Ce qui est certain c’est qu’en te lisant, j’ai envie d’essayer… mais il faut de vrais pros et très bien chaussés. Une petite question : quel a été jusqu’alors ton maximum de coups de pied reçus, surtout en grande excitation? En tous cas , bravo … et merci pour l’état dans lequel tu m’a mis! Pierre 0625422044

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